27 juin 2007

Nobiliaire de Franche-Comté : Q

QUANTEAL. Philippe le Bon, duc de Bourgogne, anoblit, en 1499, Humbert Quanteal, de Salins, son médecin. Ses descendants dérogèrent, car Claude Quanteal, chanoine, et Gaspard Quanteal, médecin à Salins, obtinrent des lettres de réhabilitation en 1592. Armes : de gueules, à la croix d'or, chargée en coeur d'un écu d'argent, à trois barres d'azur.

QUÉGAIN. Cette famille, qui possédait les seigneuries de Voray et de Falletans, a été admise aux assemblées de la noblesse en 1789.

QUEUVE. Guillaume et Jean de Queuve, chevaliers, reçus à Saint-George en 1502 et 1548, appartenaient à une maison éteinte. Armes : d'azur, à une cuve d'or, d'où sort une femme de carnation aux cheveux épars.

Blason QUINGEYQUINGEY. Eudes de Quingey était, en 1368, bailli général de Franche-Comté ; ses descendants, admis à Saint-George dès la création de cette confrérie, lui ont donné trois chevaliers. Simon et Jean de Quingey, son fils, étaient chevaliers d'honneur au parlement des deux Bourgognes sous le duc Philippe le Hardi. Alliances : de Montrichard, d'Auxelles, Merceret, etc., éteinte. Armes : d'argent, à la fasce de gueules, chargée de trois grelots d'or.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

Nobiliaire de Franche-Comté : PU

PUISSANT. Les Puissant du Lédo, convoqués en la chambre de la noblesse de Dôle en 1789, se sont alliés de nos jours à la maison de Dion.

Blason PUSELPUSEL. Par arrêt de 1699 rendu à Dôle, Jean Georges Pusel, seigneur d'Ainvelle et de Betoncourt-sur-Amance, fut maintenu dans sa noblesse. Ses ancêtres étaient originaires de Luxeuil. Charles-Louis Pusel de Boursières fut conseiller auditeur à la cour royale de Besançon en 1815. Armes : d'azur, à trois fasces ondées d'or.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

Nobiliaire de Franche-Comté : PR

Blason PraPRA. Guillaume, seigneur de Pra, près de Saint-Claude, chevalier, vivait en 1207. Ses descendants ont été reçus quatre fois à Saint-George, et ont donné, au milieu du siècle dernier, un gouverneur de Langres, Antide de Pra, comte de Peseux. Son frère, Claude de Pra-Peseux, devint lieutenant général, Armes : de gueules, à la bande d'argent, accompagnée de deux cors de chasse du même.

PRECIPIANO. Charles-Quint envoya pour diriger les fortifications de Dole François de Précipiano, originaire de Gênes et neveu d'André Doria. Ambroise de Précipiano, baron de Soye, reçut des lettres de chevalerie en 1598. Un de ses descendants, Prosper Ambroise de Précipiano, chevalier de Saint-George, gouverneur militaire de Besançon, lieutenant général, fut créé comte de Soye par le roi d'Espagne en 1696. Il n'eut pas de postérité. Son frère, Humbert - Guillaume, mourut archevêque de Malines en 1711. La branche cadette des seigneurs de Cuse, commencée en 1620, s'éteignit en 1743. Armes : de gueules, à l'épée d'argent posée en fasce, à la poignée d'or. Devise : Dieu et mon épée.

PRÉSENTEVILLERS. Cette ancienne maison éteinte a été admise quatre fois à Saint-George au XVIe siècle ; elle s'est alliée avec les maisons de Montarby, Coublanc, Saint-Maures, Vy, Vaudrey. Armes : chevronné d'or et de gueules de six pièces

PREVOST. Robert Prevost, seigneur de Rentechaux et de Pelousey, conseiller du duc de Bourgogne, était cogouverneur de Besançon en 1449. Jean Prevost était conseiller au parlement de Dole en 1500. Sa postérité s'est éteinte. Armes : de gueules, au sautoir d'argent, chargé de cinq étoiles du champ. Devise : Grâce à Dieu.

PREVOSTET. Famille noble de Salins, éteinte. Alliances : Valle, Patornay. Armes : d'azur, à trois pains d'argent.

PRIOZET. Cette famille d'origine bourgeoise était représentée au siècle dernier par Pierre Priozet, coseigneur de Richecourt. Alliances : de Bourbevelle, Bourgoin, Thévenot, de Bonille, Bonvallet, etc.

PRIVEY. Laurent Privey, originaire de Langres, mourut à Dole en 1550. Un de ses descendants, Daniel Privey, auditeur en la chambre des comptes, fut anobli par le roi d'Espagne en 1658. Ses enfants n'eurent pas de postérité. Armes : d'or, à la bande de sable, accompagnée de deux losanges du même.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

24 juin 2007

La famille de Bollogne à la BnF

Via un bon tuyau de mon ami Gérard Planson, voici les références de documents sur la famille de Bollogne à la BnF (recherches dans le catalogue BN-OPALE Plus) :
Type : texte imprimé, monographie
Titre conventionnel : [Factum. Reybaud, Antoine. 1659?]
Titre(s) : Avertissement pour messire Antoine Reybaud, prêtre et curé de Marcoux, damoiselle Alexandre Avril, veuve de feu Me Gaspard Reybaud, notaire dudit Marcoux, Jacques, Paul, Raphaël et Esprit Reybaud, héritiers d'Antoine Reybaud, leur aïeul, évoqués du parlement de Provence, et au principal appelants par lettres royaux de sentence arbitrale du 7 avril 1659,... contre damoiselle Isabeau de Bollogne, veuve et héritière de feu Me Antoine de Bollogne, viguier de la ville d'Yères... [Texte imprimé] / (Signé : Morel.)
Publication : (S. l. n. d.)
Description matérielle : In-4 °
Note(s) : Au sujet de la possession de la cure de Marcoux, contestée à André Reybaud par Nic. Fabry
Autre(s) auteur(s) : Morel. Rédacteur
Notice n° : FRBNF36752912

Type : texte imprimé, monographie
Titre(s) : Généalogie de la maison de Bollogne, issue de celle de Capizucchi, en Italie. Produite... au mois d'octobre 1667 [Texte imprimé]
Publication : (S. l. n. d.,)
Description matérielle : In-fol. plano
Note(s) : Avec armoiries coloriées
Notice n° : FRBNF33401657

Type : texte imprimé, monographie
Auteur(s) : Bollogne, Jules de
Titre(s) : Oraison funèbre de Marie Thérèse d'Autriche, infante d'Espagne, reine de France... prononcée à Langres, le 20 septembre 1683, par Messire Jules de Bollogne,... [Texte imprimé]
Publication : Paris, A. Dezallier, 1683, in-4 ̊. Pièce
Notice n° : FRBNF31837629

Type : texte imprimé, monographie
Auteur(s) : Tamizey de Larroque, Philippe (1828-1898)
Titre(s) : Quatre lettres inédites de Jacque Gaffarel [à Gassendi, à Raphaël de Bollogne, évêque de Digne, aux frères Dupuy], publiées avec avertissement, notes et appendice [généalogie des Gaffarel], par Philippe Tamizey de Larroque [Texte imprimé]
Publication : Digne : impr. de Chaspoul, Constans et Vve Barbaroux, 1886
Description matérielle : In-8 ̊ , 34 p., figure
Note(s) : Extrait des ″Annales des Basses-Alpes, bulletin de la Société scientifique et littéraire de Digne″
Notice n° : FRBNF31431378

23 juin 2007

Nobiliaire de Franche-Comté : PO

POINÇOT ou POINSSOT. Philippe de Bourgogne anoblit Jean Poinçot et son fils, procureur général d'Amont en 1457. Alliances : de Germiny, Droz, etc.

POINTES. Ancienne noblesse qui a relevé au XIVe siècle le nom et les Armes de la maison de Gevigney ; elle possédait au XIVe siècle les seigneuries du Fayl, d'Anrosey et autres. Alliances : Gevigney, Baujeu, Vaux, Montarby, Montot, Prevost, Champagne, Thomassin, Buson, etc. Armes : écartelé, aux 1er et 4e d'or, à trois lionceaux naissants de sable, aux 2e et 3e de Gevigney.

POIPON. Famille de Dole qualifiée noble et alliée aux Moréal au XVIIe siècle.

POITIERS. Une branche de cette maison, surnommée de Nadans et de Saint-Valier, habita la Franche-Comté et un de ses rejetons, Ferdinand-Éléonor de Poitiers-Nadans, chevalier de Saint-George en 1652, avait été substitué aux noms et armes du seigneur de Rye, comte de Saint-Valier, marquis de Varembon. (Voyez pour la maison de Poitiers-Saint-Valier l'Annuaire de 1862, p. 206.)

POL. Alexandre de Pol, armurier du duc Charles, originaire de Milan, s'établit à Dole, où sa famille s'allia aux du Chastel, de Chissey. Armes : vairé d'argent et de gueules, au lion de sable couronné d'or, armé et lampassé du même, brochant sur le tout.

POLIGNY. (Voyez plus haut, p. 168.)

Blason PollenotPOLLENOT. Charles-Quint anoblit en 1525 Jacques Pollenot, attaché au service de Laurent de Gorrevod, son maître d'hôtel. Armes : d'or, à un chevron d'azur accompagné de trois aiglettes de sable, becquées de gueules.

Blason PolyPOLY. Jacques Poly de Ménetru, du bailliage de Poligny, était conseiller au parlement au XVIe siècle. Autre Jacques Poly, chevalier d'honneur en la chambre des comptes de Dole, mourut en 1731. Son fils Gaspard, qualifié comte de Poly, chevalier d'honneur aux comptes, colonel d'infanterie, n'eut qu'une fille. Alliances : le Goux de la Berchère, des Pasquier, Maillot, Chaffoy, Durfort. Armes : d'azur, à la fasce d'or, accompagnée en chef d'une rose du même.

PONCELIN. Charles Ferdinand Poncelin, originaire d'Espagne, s'établit en 1615 à Gray, où il était trésorier général. Jean-Baptiste Poncelin, seigneur de Raucourt, lieutenant-colonel de cavalerie, chevalier de Saint-Louis, épousa, en 1784, Jeanne Tugnot de Lannoye, fille d'un maréchal de camp. La branche de Poncelin d'Eschevannes a donné au XVIIe siècle un mayeur de Gray. Alliances d'Épenoy, Rouhier, Logeros, Pointes, Faivre, Ganisot, Vuilleret de Brottes, Tricornot, Renaudin, etc.

Blason PontaillerPONTAILLER. Cette maison d'ancienne noblesse est connue par titres de l'an 1172, et a formé plusieurs branches, L'aînée, qui s'est fondue dans les maisons de Marmier et de Clermont, a donné un maréchal de Bourgogne, chevalier de la Toison d'or, marié à Claudie de Bourbon. La branche cadette des barons de Vaugrenans, commencée au XVe siècle, passa ses biens aux seigneurs de Villiers-Lafaie. Claude de Pontailler, auteur du rameau des seigneurs du Flagey, était chambellan de Philippe le Beau en 1505 ; ses deux fils n'eurent pas d'enfants mâles. Alliances : Montfaucon, Oiselet, Vergy, Ray, Luxembourg, Poitiers, Bauffremont, Cléron, etc. Armes : de gueules, au lion d'or couronné du même, armé et lampassé d'azur.

PORCELET. Il ne faut pas confondre avec les Porcelet de Provence la famille Porcelet de Franche-Comté éteinte depuis longtemps, Hugues et Guillaume Porcelet, chevaliers cogouverneurs de Besançon en 1296 et 1398. Elle avait un sautoir engrêlé et quatre porcs dans ses armoiries.

PORT. Originaire de Savoie, et fixée en Provence et en Comté, où Jean de Port ou des Port était reçu chevalier de Saint-George en 1440, cette famille a fourni le vice-amiral de France du port de Loriol, en 1773. Armes : coupé de gueules et d'argent, à deux portes ouvertes de l'un en l'autre.

Voir aussi ci-dessous la notice sur la famille de Loriol dans le dictionnaire de la noblesse de Badier.



PORTIER. Hugues Portier, issu de la maison de Frolois, chevalier, se fixa à Lons-le-Saulnier en 1350. Sa postérité, éteinte depuis longtemps, avait formé deux branches. Armes : d'or, à six cotices d'azur et à la bordure engreslée de gueules.

POUPET. Cette maison, qui tirait son nom de la Grange-Poupet, près de Salins, devait son élévation à Jean Fruin, de Poligny, ambassadeur du duc de Bourgogne au concile de Bâle, dont la soeur, Gérarde Fruin, avait épousé au XVe siècle Jean Poupet. Un de leurs enfants devint évêque de Châlon-sur-Saône en 1460. Guillaume Poupet, l'aîné, receveur général du duc de Bourgogne, fut père de Charles de Poupet, chambellan de Charles-Quint, dont il devint l'ambassadeur à Rome ; Jean de Poupet, son fils, chevalier d'Alcantara, n'eut qu'une fille, mariée à Jean de Bauffremont. Armes : d'or, au chevron d'azur, accompagné de trois perroquets de sinople, becqués, bouclés et membrés de gueules.

POURCHERESSE. Claude-François Pourcheresse, écuyer, seigneur de Fraisan, était au siècle dernier lieutenant général au bailliage de Salins.

POURLANS. Famille éteinte, qui avait pour armes : de gueules, à la bande engreslée d'argent.

POURREY de SAINT-BRESSON. Famille du bailliage de Dole, convoquée en la chambre de la noblesse en 1789.

POURTIER. Louis Pourtier, avocat fiscal à Salins, fut anobli le 20 décembre 1656. Sa descendance est représentée à Besançon par M. Pourtier de Chaucenne, conseiller à la cour impériale. Armes : d'or, à la bande de sable, chargée de trois fusils d'or et accompagnée de deux clefs de sable.

POUTIER. Ancienne famille de Besançon, fixée de nos jours à Langres et dans le Poitou. Denis de Poutier, seigneur de Sônes, cogouverneur de Besançon en 1621 obtint des lettres de chevalerie de Philippe IV, roi d'Espagne. Jean Poutier, son père, conseiller au parlement de Dole en 1593, avait reçu des lettres de noblesse de l'empereur Rodolphe. Leur descendance a formé deux branches. La cadette s'est éteinte en 1825 dans Antoine de Poutier de Gouheland, chevalier de Saint-George et maréchal de camp. De la branche aînée, qui subsiste encore, était Nicolas-Gabriel de Poutier, comte de Sônes seigneur de la Neuville, chevalier de Saint-George en 1750, qui servit avec son fils dans l'armée de Condé. Alliances : Franchet, Guyot de Maiche, de Maizières, de Bressey, de Han, de Montrichard, de Pra-Peseux, de Rose, Alviset-de-Maizières, de la Tour, de Pradel, Planta de Wildemberg. Armes : de sable à la croix engreslée d'argent.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

Nobiliaire de Franche-Comté : PL

PLAINE. Perrenin Plaine, de Poligny, était membre du grand conseil de Bourgogne en 1394. Gérard Plaine devint président du parlement des deux Bourgognes et chef du conseil. Jean, son frère, seigneur de Mantry, fut général des monnaies. Jean de Plaine, son petit-fils, était chevalier d'honneur au parlement de Dole en l'an 1500. Thomas de Plaine, chancelier de l'archiduc Philippe d'Autriche, fit branche en Flandres. La branche de la Roche donna trois chevaliers de Saint-George et s'éteignit dans la maison du Hautoi, au XVIIe siècle. Alliances : Bourbon-Carency, Lannoy, Clermont, Saulx, Raulin,Vury, Boufflers. Armes : de gueules, à la fasce d'argent, accompagnée en chef de trois grelots du même.

Blason PLAISANTPLAISANT. Maison éteinte, qui avait contracté des alliances avec celles de Blye, de Noisay, d'Aigremont, de Cléron, etc. Armes : échiqueté d'or et de sinople.

PLATIERE. Humbert de la Platière, d'Arbois, conseiller de Marguerite de France et du duc de Bourgogne, Philippe le Hardi, vivait en 1396. Ses Armes, données par Dunod, font supposer qu'il était de la maison de la Platière en Nivernais, qui produisit sous Charles IX, Imbert de la Platière-Bourdillon, maréchal de France. Armes : d'argent, au chevron de gueules, accompagné de trois anilles de sable.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

Nobiliaire de Franche-Comté : PH et PI

PHILIPPE. Claude Antoine Philippe et Ambroise Philippe étaient cogouverneurs de Besançon en 1614 et 1647. Ambroise fut anobli le 25 avril 1646. Claude-Ambroise Philippe, mort en 1697, avait été président à mortier au parlement. Armes : écartelé, aux 1er et 4e de gueules, à une bande d'argent, chargée de trois têtes de cheval de sable ; aux 2e et 3e d'azur, à un cygne d'argent.

PICART. Famille de Besançon, anoblie en 1548, sans que ses armoiries aient été mises dans les lettres patentes.

PICOT DE MORAS. Christophe Picot, chevalier de Moras, vint se fixer à Gray, où il fut maintenu dans sa noblesse par arrêt de la chambre des comptes de Dôle en 1750. Sa famille avait donné un gouverneur de Nîmes au XVIe siècle, des présidents au parlement, un conseiller au parlement de Paris, des chevaliers de Malte et de Saint-Louis.

PIERRARD. De cette famille de Passavant, anoblie par l'empereur Ferdinand, était Pierre Pierrard, seigneur de Venans, marié à Catherine de Laferté. Armes : écartelé, aux 1er et 4e de gueules, à la bande d'argent ; au 2e d'azur, à trois pointes d'or mouvantes du chef ; au 3e d'azur, à un trèfle soutenu de deux feuilles aussi d'or.

PIERRE. Philibert Pierre de Gray fut anobli par Charles-Quint en 1556. Odo Pierre était conseiller au parlement de Dôle. Armes : d'azur, à trois croissants versés d'or et à quatre étoiles du même, trois sous les croissants et une en pointe de l'écu. Il y avait aussi une autre famille de Pierre, originaire de Gy, et anoblie à cause de la conduite d'un de ses rejetons à la défense de cette ville.

PIERREFONTAINE. Il a existé deux anciennes maisons de ce nom. L'une, surnommée de Voilant, admise huit fois à Saint-George de 1486 à 1648, avait reçu des lettres de chevalerie en 1608, et s'était alliée aux Mauflans, Orsans, Chaussin, Rougemont, Vaudrey, Bauffremont, etc. Elle portait : de gueules, à un croissant d'argent, contourné de quatre étoiles d'or. L'autre, surnommée de Verchamps, comptait dans ses alliances les Vercel, Ornans, Pontailler et Beaumotte. Armes : de sable, à la bande engreslée d'argent ; à la bordure de gueules, chargée de neuf besants d'or.

PILLOT. De Chantrans et de Coligny. (Voyez l'Annuaire de 1859, p. 251.)

PIN. La famille du Pin compte parmi ses rejetons trois chevaliers de Saint-George au XVIIe siècle. Claude Marie du Pin, baron de Jousseau, l'un d'eux, servait dans les armées d'Espagne en 1667. Alliances : Clerval, la Palud, Montarlot, Chauvirey, Montrichard, etc. On trouve aussi Pierre du Pin, écuyer, qui vivait à Lons-le-Saulnier en 1392. Armes : d'argent, à la fasce de gueules, chargée d'un lion naissant d'or.

Blason PitoyePITOYE. Claude Pitoye, seigneur de Saint-Bonnet, connu sous le nom de Saint-Hélène, vivait au temps du duc Philippe le Bon. Armes : d'azur, à la croix ancrée d'or.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

21 juin 2007

Nobiliaire de Franche-Comté : PE

Blason PecaultPECAUD ou PECAULT. Philippe Pecault, capitaine de cavalerie, fut anobli le 28 mars 1659. Guillaume Pecault était gouverneur d'Arbois en 1700.
Armes : de gueules, à la bande ondée d'argent, accompagnée de deux croissants du même.

PELISSONNIER. Charles-Quint anoblit en 1528 Huguenin Pelissonnier, originaire d'Arlay. Charles Pelissonnier fut obligé de recourir en 1667 à des lettres de réhabilitation. Alliances : Bulle, Javel, de Truchis, Domet.
Armes : d'azur, à deux volants de moulin d'argent, mis en sautoir.

Blason PelouxPELOUX. François de Peloux, qui se fixa en Franche-Comté, avait suivi dans sa trahison le connétable de Bourbon. Humbert de Peloux, seigneur de Vercel, était chevalier de Saint George en 1553.
Alliances: d'Achey, de Leugney.
Armes : d'argent, au sautoir engrêlé d'azur.

PENAUT. Famille du bailliage d'Arbois, qui possédait à la fin du siècle dernier les seigneuries de Changian et d'Andelarrat.

PERDRIZET. Guillaume Perdrizet, écuyer, de Luxeuil, était recteur de l'université du comté. Nous croyons sa famille éteinte.

PERNEL, ou PERRENELLE. Famille de Vesoul, anoblie en 1658 dans Renobert Perrenelle, greffier en la chambre des comptes de Dole.
Armes : de gueules, à une larme d'argent, accompagnée de trois sautoirs noueux, alésés d'argent.

PERNET ou PERRENET. Gervais Pernet, seigneur de Brévans, était vicomte mayeur de Dole en 1702. La seigneurie de Brévans passa à Antoine Moréal par alliance.

PERNOT. Nicolas Pernot de Verceil, conseiller au parlement en 1607, auteur d'ouvrages de droit, mourut sans postérité.
Armes : de gueules, à trois cœurs d'or appointés en triangle; au chef d'or, chargé de trois étoiles de gueules.

Blason PerréalPERREAL. Antoine Perréal était cogouverneur de Besançon en 1499. Alliances : Chifflet., etc.
Armes : d'argent, au lion de gueules, la queue fourchée.
Devise : BONNE FIN.

Blason PerreceyPERRECEY. Maison éteinte du bailliage de Dole. Elle était connue depuis 1296, et avait donné des officiers et un trésorier général aux ducs et comtes de Bourgogne.
Armes : coupé, au 1er d'or, à la tour de gueules maçonnée de sable; au 2e d'azur.

PERRENEY DE GROSBOIS. Famille originaire du duché de Bourgogne, dont était Jean Claude Nicolas Perreney de Grosbois, premier président du parlement de Besançon. Son fils, Claude Irénée, était aussi premier président au même parlement en 1789.

PERRENOT DE GRANVELLE. Cette maison doit son illustration et sa splendeur à Nicolas Perrenot, seigneur de Granvelle, maréchal impérial de Besançon, qui devint chancelier de l'Empire, et fut admis à la haute faveur de Charles-Quint. Il fit bâtir le fameux palais de Granvelle, qui existe encore à Besançon. (Nous avons donné la notice de cette famille dans l'Annuaire de 1858, p. 430.)
Armes : d'argent, à trois bandes de sable ; au chef d'or, chargé d'une aigle éployée et naissante de sable.
Devise : SIC VISUM SUPERIS.

PERRET ou PERREY. Claude-Francois Perrey, écuyer, et Pierre-François son fils, qui obtint en 1720 des lettres de chevalerie, étaient l'un et l'autre lieutenants généraux du bailliage de Salins.
Armes : d'azur, au pal échiqueté d'argent et de gueules.

PERRIN. Louis Perrin, conseiller au parlement de Dole en 1633, avait peut-être la même origine que les Perrin, seigneurs de Saux, convoqués en 1789 aux états de la noblesse. Alliances : Espiard, Mareschal.
Armes : d'or, au sautoir crénelé de gueules et au chef crénelé du même.

PERRINOT. Famille du bailliage de Besançon, où elle possédait le fief d'Audeux. Elle a été convoquée en 1788 dans la chambre de la noblesse.

PERROT. Charles-Quint anoblit cette famille, qu'on voit alliée aux de Chaillot, de Marenches, de Boitouzet.
Armes : d'azur, à une fasce soutenue d'un chevron, accompagné en chef de deux croissants versés et en pointe d'une étoile, le tout d'argent.

PESMES. Guy et Aymon de Pesmes, barons dudit lieu, issus d'une branche de la maison de Vienne, firent partie de la croisade de Constantinople en 1201. Guillaume de Pesmes, vivant au XIVe siècle, n'eut qu'une fille, mariée à Ottenin de Granson.
Armes : d'azur, à la bande accompagnée de six croisettes d'or.

PETING. Claude-François Peting, écuyer, seigneur de Paynoz, était président en la chambre des comptes de Dole en 1789.

PETITBENOIT. Un conseiller au parlement de Besançon, seigneur de Chaffoy, et un chanoine prébendier de la cathédrale étaient, en 1789, les représentants de cette famille.

PETIT DE MARIVATS. De cette famille, établie en Franche-Comté, en Bourgogne et à Paris, était Nicolas Petit, seigneur de la Galanderie, et en 1670 grand référendaire en la chancellerie.
Armes : d'azur, au chevron d'or, vivré et accompagné de trois étoiles d'or couronnées.

PETITEPIERRE. . Ancienne noblesse éteinte dont était Jacques de Petitepierre, mort en 1455, à Besançon. Son épitaphe le qualifiait comte de Petitepierre. Pancras et Pierre de Petitepierre furent admis à Saint-George en 1489 et 1528.
Armes : de gueules, au chevron d'argent, soutenu d'une fasce du même.

PETITJEAN DE ROTALIER. Cette famille, originaire du Jura, et dont la noblesse a été reconnue par d'Hozier en 1700, possédait les terres de Rotalier et de Montmirey. Pierre Alexis Petitjean de Rotalier reçut du roi Louis XVIII le titre de comte pour sa conduite à Quiberon. Charles-Félix, comte de Rotalier, mort en 1854, avait été maréchal de camp et inspecteur général d'infanterie. Armes : d'argent, à trois bourdons d'azur mis en pal.

PETREMAND. Jean Petremand, cogouverneur de Besançon, fut anobli en 1531. Sa famille était ancienne et avait produit un abbé commendataire de Fouchécourt. Une branche établie à Dole reçut des lettres de noblesse en 1631. Elle a donné deux conseillers au parlement en 1611, 1623, et un chevalier de Malte en 1713. Alliances : de Poutier, Bereur, Tinseau, Moréal, Varin, Mareschal Vezet, etc.
Armes : d'azur, à trois pommes de pin d'or renversées.

PETREY. Cette famille éteinte obtint des lettres de noblesse en 1601, de chevalerie en 1651, et de baronnie en 1697. Louis Petrey, originaire de Vesoul, était conseiller au parlement de Dole en 1618. Jean-Baptiste Petrey, baron de Longvy, devint président au parlement.
Armes : d'argent, à la rose de gueules, boutonnée d'or, feuillée et soutenue de sinople.

PEULDEY. Guillaume Peuldey fut anobli en 1644. Il prit le nom de Palante, et devint cogouverneur de Besançon. Le roi d'armes Colbrant refusa d'enregistrer son blason parce qu'il voulait porter pour armes : coupé, du royaume des Romains en chef et du royaume de Léon en pointe.

Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

19 juin 2007

Deux nouveaux blogs de généalogie

Depuis quelques mois, j'ai l'impression qu'il se crée de plus en plus de blogs de généalogie. Parmi tous ces nouveaux blogs, il y en a deux que j'ai découvert récemment et qui m'ont beaucoup plu :

17 juin 2007

Chronique de l'ascendance de Euphrosine Buisson

Une branche que je viens de débloquer aujourd'hui grâce aux relevés geneabank du CGD. A la fin de cette ascendance, on trouve la famille de Saint-Ours probablement liée avec celle du Canada...

Première génération

1. Euphrosine BUISSON est née le 11 mars 1781 à Autrans, Isère, France. Euphrosine a épousé Pierre REPELLIN MEZIN, fils de Jean REPELLIN MEZIN et Anne COING ROY, le 2 octobre 1799 à Montaud, Isère, France.

Deuxième génération

2. François BUISSON a épousé Marguerite CHOROT (CHAUROT) le 28 février 1775 à Saint-Louis XVIIIe, Grenoble, Isère, France.

3. Marguerite CHOROT.

Troisième génération

4. François BUISSON a épousé Barbe FÉLIX-GRIAT le 30 janvier 1742 à Autrans, Isère, France.

5. Barbe FÉLIX-GRIAT.

6. Jacques CHOROT a épousé Marie CHOROT le 23 novembre 1734 à Veurey-Voroize, Isère, France.

7. Marie CHOROT est née le 21 mai 1716 à Veurey-Voroize, Isère, France.

Quatrième génération

8. Jean BUISSON-GUERRE est né à Méaudre, Isère, France. Il a épousé Catherine GAILLARD le 5 mars 1706 à Autrans, Isère, France.

9. Catherine GAILLARD est née le 10 juillet 1689 à Autrans, Isère, France.

10. Benoit FÉLIX-GRIAT a épousé Anne FANJAS le 23 janvier 1716 à Méaudre, Isère, France.

11. Anne FANJAS.

12. Jacques CHOROT a épousé Dimanche COLOMBIER MARAND le 29 avril 1705 à Montaud, Isère, France.

13. Dimanche COLOMBIER MARAND.

14. Gabriel CHOROT est né à Veurey-Voroize, Isère, France. Il a épousé Claudine DE SAINT-OURS-BARIN le 30 juillet 1715 à Veurey-Voroize, Isère, France.

15. Claudine DE SAINT-OURS-BARIN est née le 27 novembre 1688 à Veurey-Voroize, Isère, France.

Cinquième génération

16. Jean BUISSON-GUERRE.

18. Barthélémy GAILLARD est décédé avant 1706. Il a épousé Benoite GOUY DU TRUC.

19. Benoite GOUY DU TRUC.

20. Antoine FÉLIX-GRIAT a épousé Barbe BLANC-BRUDE.

21. Barbe BLANC-BRUDE.

22. Hugues FANJAS a épousé Claudine Marie PEYLE.

23. Claudine Marie PEYLE.

24. Jean CHOROT a épousé Dimanche COING GILLET le 8 avril 1658 à Veurey-Voroize, Isère, France.

25. Dimanche COING GILLET.

26. Guillaume COLOMBIER MARAND a épousé Dimanche MUL GANOT le 2 juin 1678 à Saint-Quentin sur Isère, Isère, France.

27. Dimanche MUL GANOT.

30. Jean DE SAINT-OURS-BARIN a épousé Jeanne COING BOYAT le 26 février 1688 à Veurey-Voroize, Isère, France.

31. Jeanne COING BOYAT.

Sixième génération

48. Anthoine CHOROT a épousé Antoinette EYBERT.

49. Antoinette EYBERT.

50. Claude COING GILLET.

60. Georges DE SAINT-OURS-BARIN est né en 1631 à Veurey-Voroize, Isère, France. Il est décédé le 26 mars 1676 à Veurey-Voroize, Isère, France. Georges a épousé Anne EYBERT le 14 janvier 1655 à Veurey-Voroize, Isère, France.

61. Anne EYBERT.

62. Guigues COING BOYAT a épousé Claude BRUNET.

63. Claude BRUNET.

Septième génération

120. Claude DE SAINT-OURS-BARIN.

122. Mouyse EYBERT.

Nobiliaire de Franche-Comté : PA

PAGE. Pierre Page, originaire de Chauvirey, fut anobli en 1615 par l'archiduc Albert. Sa famille était représentée en 1789 par un conseiller au parlement. Armes : d'azur, à trois oeillets d'or.

PAGUELLE. François Paguelle, recteur de l'université du comté en 1603, était originaire de Gray. Ses descendants, seigneurs de Larret, ont relevé le nom et les Armes de Dujard, et servi dans l'armée des princes pendant l'émigration. Alliances : Régis, Maudinet, de Bouttechoux, Balahu, de Montarlot, de Follenay, etc.

PALUD (LA). Ancienne noblesse de Bresse, qui a eu des alliances et des biens considérables en Comté, et a donné cinq chevaliers de Saint-George. Philibert Philippe de la Palud, comte de la Roche, était conseiller et chambellan du duc de Bourgogne en 1470. Jean de la Palud, comte de Varax, seigneur de Bouligneux, lieutenant général en Bresse, laissa tous ses biens à son cousin Jean de la Palud de la Roche, qui n'eut que des filles mortes sans enfants, et dont la veuve, Claudine de Rye, porta dans sa famille l'héritage des maisons de la Roche et de la Palud. La branche des comtes de Bouligneux subsistait encore, au siècle dernier dans Louis de la Palud, comte de Bouligneux, lieutenant général, tué en 1704. Armes : de gueules, à la croix d'hermine.

Blason PanierPANIER. Nithier Panier, bourgeois de Salins, fut anobli par Philippe II le 16 septembre 1598. Il était receveur des confiscations. Armes : d'hermine, au lion de sable.

PAPONET. Les seigneurs de Prepavin, dont était Milon Paponet, capitaine au service de l'Espagne, anobli en 1662, avaient pour armes : d'or, au sautoir de gueules et l'épée d'argent en pal, brochant sur le tout.

PAQUET. Cette famille a été convoquée en 1789 aux états de la noblesse de la province.

PARAFAN ou PARAFAY. Famille originaire d'Espagne et fixée dans la Comté, où elle possédait la seigneurie de Chenecey. Armes : de gueuler, à la colonne, soutenant une boule d'or et au lévrier rampant d'argent, accolé de gueules.

Blason PARDESSUSPARDESSUS. Cette ancienne noblesse éteinte, connue depuis l'an 1308, s'était alliée aux Balay, Beaujeu, etc. Armes d'or, au chevron de sable, accompagné de trois coquilles de gueules.

PARIS. Famille convoquée en la chambre de la noblesse de Dole en 1789.

PASQUIER. La seigneurie de ce nom, située entré Balerne et Salins, fut le berceau d'une famille éteinte, connue dès 1290. Les seigneurs du Pasquier la Villette, reçus cinq fois à Saint-George, sont peut-être une branche de la maison précédente, dont ils portent les armes, sauf que les croisettes sont au nombre de trois et ont le pied fiché. Antoine du Pasquier la Villette était grand prieur du chapitre de Baume en 1747. Armes : d'azur, à la bande engrêlée d'or, et à l'orle de croisettes recroisettées du même.

PATORNAY. Nithier Patornay, originaire de Salins, conseiller du duc de Bourgogne, devint maître des requêtes de l'hôtel de Louis XI en 1482. Philippe Patornay était évêque d'Andreville en 1625, et Bernard François Patornay, seigneur de Find, figura parmi les conseillers du parlement en 1650. Armes : d'azur, à une quintefeuille d'or, accompagnée de trois croissants d'argent.

Blason PAULTERETPAULTERET. Famille de Gray dont la noblesse, est douteuse. Jean Paulteret était conseiller en la chambre des comptes de Dole en 1604. Alliances : Gauthiot, Melcot de Fedry. Armes : d'azur, à trois étoiles d'or.

PAVANS DE CECCATY. Le roi d'Espagne anoblit en 1673 cette famille, qui a donné un recteur de l'Académie de Besançon, un brigadier des armées du roi, des officiers supérieurs. Son représentant actuel est président du tribunal de Saint Claude. Armes : d'azur, à un mont de trois coupeaux, surmonté d'une aigle éployée, couronnée d'or, et flanquée de deux lions affrontés du même.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

15 juin 2007

Bouygues de Boschatel et de la Martinie

Source : Chaix d'Est-Ange, Gustave (1863-1923), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1119990/f294.item
La famille Bouygues appartient à l'ancienne bourgeoisie de la Haute Auvergne et du Quercy.

La souche s'est partagée en plusieurs branches.

L'une de ces branches se distingue en joignant à son nom celui de son domaine de la Martinie, dans le Cantal.

Le chef d'une autre branche, M. Guillaume-Maurice Bouygues, né en 1807 à Aurillac, conservateur des hypothèques de cette ville, marié à Mlle de Conquans de Lacan et décédé en 1869, et son fils alors mineur, Joseph Bouygues, né en 1852, furent autorisés le 29 mars 1867, par décret de Napoléon III, à joindre à leur nom celui de la famille de Boschatel, alors éteinte, dont ils descendaient en ligne féminine.

La famille Bouygues a fourni un député du Lot à la Convention et au Conseil des Cinq-Cents (Jean-Pierre Bouygues, né à Saint-Céré en 1756, décédé en 1835 dans la même ville).

Principales alliances: de Conquans de Lacan, de Rivals-Mazères 1899, de Campmas de Saint-Remy, du Pont de Ligonnés 1832, etc.

La famille de Boschatel, dont une branche de la famille de Bouygues a relevé le nom, portait pour armes : de sable à un chevron d'or. Elle était anciennement connue à Aurillac et tirait sa noblesse de la charge de secrétaire du Roi dont un de ses membres fut revêtu en 1773.

14 juin 2007

La famille de Boutiny

Source : Chaix d'Est-Ange, Gustave (1863-1923), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1119990/f273.item

Blason de Boutiny Dessin de Sébastien Avy publié avec l'aimable autorisation de HeraldiqueGenWeb.

Armes : d'azur à un bateau contourné d'argent, accompagné en chef à dextre d'un croissant contourné et à sénestre d'une étoile à six rais, le tout d'or (alias d'argent). -- Couronne: de Marquis. -- Supports : deux lions.
La famille de Boutiny appartient à la noblesse de Provence. Artefeuil ne lui a pas consacré d'article dans son Histoire héroïque de la noblesse de Provence et on ne doit accepter qu'avec beaucoup de réserve la généalogie qui en a été publiée dans le Nobiliaire universel de Saint-Allais. On trouvera sur elle des renseignements dans les manuscrits de Chérin et Bord d'Hauterive en a donné une généalogie dans l'Annuaire de la Noblesse de 1874-1872.

D'après la tradition, la famille de Boutiny serait originaire d'Italie et aurait eu pour nom primitif celui de Botini. Le jugement de maintenue de noblesse rendu en sa faveur en 1702 en fait remonter la filiation à Claude Botiny dont le fils, noble et généreux homme Pierre Botiny, épousa Catherine Valienne (Le jugement de maintenue de noblesse de 1702 appelle cette dame Marguerite de Galiens.) par contrat passé le 10 février 1531 devant Jean Cabasson, notaire à Toulon. Pierre Botiny laissa de cette alliance deux fils, Barthélemy et Pierre Botiny. Le second de ceux-ci, noble et généreux Pierre Botin, docteur, en droit civil et canon, lut nommé le 11 novembre 1572, par lettres patentes du roi Charles IX, procureur général en la Chambre des comptes de Provence en remplacement de son beau-père Jacques d'Arbaud, fut anobli par sa charge et laissa d'un second mariage avec demoiselle de Boissière plusieurs enfants dont on ignore la destinée. Son frère aîné, Barthélemy Botin, eut en partage les biens que sa famille possédait à Hyères et à Toulon, fut visiteur des gabelles, épousa Louise de Vitalis par contrat passé à Aix le 31 décembre 1573 d'après le jugement de maintenue de noblesse de 1702 et le travail de Saint-Allais et seulement le 5 janvier 1585 d'après la généalogie de Borel d'Hauterive et continua la descendance. Pierre Boutin, fils de celui-ci, épousa Claire Bernardy, fille de maître Alexis Bernardy, avocat en la Cour d'Aix, par contrat passé le 6 février 1633 devant Bertrandi, notaire à Grasse. Malgré l'autorité du jugement de maintenue de noblesse de 1702, la situation nobiliaire de ces premiers auteurs de la famille de Boutiny parait avoir été plus que douteuse et on ne voit pas qu'ils aient porté la qualification d'écuyer. La famille de Boutiny ne figure pas, du reste, au nombre de celles qui firent reconnaître leur noblesse lors de la grande recherche des faux nobles commencée en 1666. Pierre Boutin mentionné plus haut figure pour la première fois avec le nom de Boutiny et la qualification d'écuyer dans un acte passé à Hyères le 12 décembre 1645. Son fils, François de Boutiny, avocat en la Cour et consul d'Hyères, marié le 13 octobre 1661 à Marie de Gasqui, fille du seigneur de Brégançon et de Marguerite de Castellane-Montmeyan, et son petit-fils, Joseph de Boutiny, consul d'Hyères, marié dans cette ville en 1688 à Geneviève Janin, s'agrégèrent définitivement à la noblesse. Joseph, ayant été assigné par Charles Lacour de Beauval, chargé de la recherche des faux nobles, parvint à se faire maintenir dans sa noblesse le 26 juin 1702 par jugement rendu à Aix de Pierre Cardin le Bret, premier président au Parlement de Provence. Depuis cette époque la famille de Boutiny a joui sans conteste des privilèges de la noblesse. Joseph de Boutiny eut de Geneviève Janin, entre autres enfants, deux fils, Jean Joseph, né en 1691, et Louis, né en 1700, qui furent les auteurs de deux branches.

Jean-Joseph de Boutiny, auteur de la branche aînée, épousa le 11 mars 1717 Anne de Vialis, fille d'un commissaire aux classes de la marine à Toulon. Sa descendance masculine s'éteignit avec son petit-fils, François Hubert de Boutiny, né en 1764, qui fit en 1783 les preuves de noblesse prescrites pour obtenir le grade de sous-lieutenant, qui fut dans la suite lieutenant-colonel et chevalier de Saint-Louis et qui laissa une fille unique, Mme de Gaudemar.

Louis de Boutiny, auteur de la seconde branche, dont Saint-Allais fait par erreur la branche aînée, épousa en 1724 Anne Catherine Richaud. Son fils, François-Victor de Boutiny, chevalier, né en 1739, marié en 1768 à Mlle le Blanc de Castillon, fille d'un premier avocat général au Parlement de Provence, ??? en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Hyères. Il laissa lui-même deux fils, François-Joseph de Boutiny, né en 1773, maire d'Hyères, marié en 1799 à Mlle de Saulcy, et François-Victor de Boutiny, né en 1778, marié en 1818 à Mlle de Barrel de Pontevès, qui ont été les auteurs de deux rameaux actuellement existants.

La famille de Boutiny n'est pas titrée.

Elle a fourni des consuls et des maires d'Hyères, des officiers, des chevaliers de Saint-Louis, etc.

Principales alliances : de Gasquy, le Blanc de Castillon 1768, Caignart de Saulcy 1799, de Gaudemar, de Barrel de Pontevès 1818, de Drée1846, de Lauzières de Thémines, de Charpin-Feugerolles 1870, de Montmorillon 1875, Pelleterat de Borde 1832, Penet de Monterno 1857, de David de Beauregard 1903, de Romanet 1904, de Pradier d'Agrain 1907, etc.

Voir aussi...

11 juin 2007

GénéInfos

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GénéInfos
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La famille de Bougerel

Source : Chaix d'Est-Ange, Gustave (1863-1923), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle

BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1119990/f79.item

Blason de BougerelBougerel (de). Armes : de gueules à un lion d'or; au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or.
La famille de Bougerel est originaire d'Arles, en Provence, où elle est anciennement connue. Artefeuil lui a consacré une courte notice dans son Histoire héroïque de la noblesse de Provence.

Un de ses membres, Joseph Bougerel, chanoine de l'église cathédrale de Marseille, fit enregistrer son blason à l'Armorial général de 1696.

Etienne Bougerel fut pourvu en 1696 de l'office anoblissant de conseiller en la Chambre des comptes de Provence ; il mourut sans postérité. Son frère, Louis de Bougerel, Sgr de Fontienne, marié à Mlle de Langres de Beaurecueil, fut pourvu du même office en 1730. Il fut père de François Etienne de Bougerel, Sgr de Fontienne, qui lui succéda dans son office en 1747 et qui épousa en 1752 Marie-Anne d'Albertas. Celui-ci eut à son tour un fils, M. de Bougerel de Fontienne, qui fut pourvu du même office en 1780 et qui le conserva jusqu'à l'époque de la Révolution.

La famille de Bougerel alla au cours du XIXe siècle se fixer à la Guadeloupe où l'un de ses représentants était sous-inspecteur des douanes dans les dernières années du règne de Napoléon III.

Elle n'a jamais été titrée.

Principales alliances : de Laugier de Beaurecueil, de Puget de Saint-Marc, de Bec, d'Albertas, de Minvielle 1859 et vers 1810, etc.

10 juin 2007

Actes en vrac du 10 juin 2007

Actes en vrac collectés en juin 2007

Mariages d’époux THEUS

Époux : THEUS Jean Antoine (35 ans)
Date de naissance : 03/02/1811
Parenté : THEUS Rémy (23) Frère
+ Père 07/12/1842
Épouse : CAIRE Marie Antoinette
Date de naissance : 25/10/1823
+ Mère 04/10/1846
Date de l'acte : 23/12/1846
Lieu : JAUSIERS
Parents Époux :
Père : + Jean Antoine
Mère : YVAN Rosalie
Parents Épouse :
Père : Jean Baptiste
Mère : + FORTOUL Anne Marie

Époux : THEUS Désiré (31 ans)
Épouse : GARCIN Simone (19 ans)
Date de l'acte : 08/09/1880
Lieu : JAUSIERS
Parents Époux :
Père : + Désiré
Mère : + MICHEL Rosalie
Parents Épouse :
Père : + Paul
Mère : CAIRE Marie Marguerite

Époux : THEUS Florimond (27 ans)
Date de naissance : 31/12/1868
Métier : Boucher de Barcelonnette
Parents à La Motte du Caire
Épouse : DONNEAUD Émilie
Date de naissance : 30/06/1867
Métier : Cafetière
Date du mariage : 21/02/1895
Lieu : BARCELONNETTE
Parents Époux :
Père : Joseph
Mère : BRIAND Philomène (vve MILLOU Noël)
Parents Épouse :
Père : Casimir
Mère : OLLIVIER Marie

Époux : THEUS Aimé Émile Adrien (CONDAMINE)
Épouse : NEVIL Joséphine (BARCELONNETTE)
Date de l'acte : 05/08/1903
Lieu : BARCELONNETTE

Époux : THEUS Jean François (33 ans)
Épouse : ESMENJAUD Rose (32 ans) (veuve COTTOLENC Pierre Jacques)
Date de l'acte : 25/07/1771
Lieu : BARCELONNETTE
Parents Époux :
Père : + Jean
Mère : + BERNARD Anne
Parents Épouse :
Père : + Louis
Mère : ARNAUD Elisabeth

Époux : THEUS Jean Antoine
Épouse : GROGNARD Marie
Date de l'acte : 28/04/1772
Lieu : BARCELONNETTE
Parents Époux :
Père : + Jean Antoine
Mère : CHEVALIER Elisabeth
Parents Épouse :
Père : Pierre
Mère : + GASTINEL Elisabeth

Époux : THEUS Estienne
Épouse : LAURENS Margueritte
Date de l'acte : 07/06/1785
Lieu : LE LAUZET
Parents Époux :
Père : + Blaise
Mère : BOUCHET Jeanne
Parents Épouse :
Père : Jean-Baptiste
Mère : DERBEZ Marie

Époux : THEUS Jean Antoine
Épouse : YVAN Rosalie
Date de l'acte : 28/02/1810
Lieu : UBAYE
Parents Époux :
Père : Jean
Mère : ROUX Marie Elisabeth
Parents Épouse :
Père : Jean Antoine
Mère : + BAYLE Anne Margueritte

Époux : THEUS Jean Joseph (41 ans)
Date de naissance : 06/10/1769
+ Père 19 fruct an 4
Épouse : LEAUTIER Elisabeth (20 ans)
Date de naissance : 02/08/1789
Date de l'acte : 17/01/1810
Lieu : LES THUILES
Parents Époux :
Père : + Etienne
Mère : TROUCHE Anne
Parents Épouse :
Père : Jean Antoine
Mère : + DERBEZ Rose

Époux : THEUS Alexis (24 ans)
Épouse : CHAUVET Marguerite Adélaïde (24 ans
Date de l'acte : 22/07/1829
Lieu : LE LAUZET
Parents Époux :
Père : Jean Louis
Mère : + LIOTARD Catherine
Parents Épouse :
Père : Joseph Guillaume
Mère : BONNENFANT Marie

Époux : THEUS Etienne (49 ans)
Épouse : MANUEL Elisabeth
Date de l'acte : 03/06/1835
Lieu : SAINT-PONS
Parents Époux :
Père : + Etienne
Mère : + TROUCHE Anne
Parents Épouse :
Père : Pierre Louis
Mère : CAIRE Marie Élisabeth

Mariages d’époux TOUCHE

Époux : TOUCHE Joseph
Épouse : PASCALIS Marthe Magdeleine
Date de l'acte : 19/01/1762
Lieu : BARCELONNETTE
Parents Époux :
Père : + Louis
Mère : GAUTIER Jeanne
Parents Épouse :
Père : + Joseph
Mère : + HONNORE Magdeleine

Époux : TOUCHE Jean André
Épouse : LAUGIER Marguerite
Date de l'acte : 22/07/1783
Lieu : BARCELONNETTE
Parents Époux :
Père : Joseph
Mère : PASCALIS Marthe Magdeleine
Parents Épouse :
Père : + Jean
Mère : + EBRARD Anne

Époux : TOUCHE Pierre François (27 ans)
Épouse : THEUS Suzanne Césarine (23 ans)
Date de l'acte : 13/01/1845
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : Jean Pierre
Mère : ALLEGRE Anne Rosalie
Parents Épouse :
Père : + jean Antoine
Mère : YVAN Rosalie

Mariages d’épouses THEUS

Époux : BOEUF Jean Pierre Lazare
Épouse : THEUS Magdeleine
Date de l'acte : 05/12/1808
Lieu ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : Pierre
Mère : SECOND Marie
Parents Épouse :
Père : Jean
Mère : ROUX Marie Élisabeth

Époux : PEYTRAL Pierre
Épouse : THEUS Marie Élisabeth
Date de l'acte : 20/07/1808
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : + Estienne
Mère : + GREYERE Marianne
Parents Épouse :
Père : Estienne
Mère : MATHIEU Claire

Époux : LAUZET Florent (22 ans)
Épouse : THEUS Élisabeth (31 ans)
Date de l'acte : 30/04/1820
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : + Michel
Mère : BONNENFANT Catherine
Parents Épouse :
Père : + Pierre
Mère : ORCEL Anne Marie

Époux : MATHIEU Jean Joseph (23 ans)
Épouse : THEUS Marie Anne Rosalie (22 ans)
Date de l'acte : 25/01/1837
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : Jacques
Mère : + GARCIER Marie Marguerite
Parents Épouse :
Père : Jean Antoine
Mère : YVAN Rosalie

Époux : MATHIEU Jean Joseph
Épouse : THEUS Marianne Rosalie
Date de l'acte : 25/01/1837
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS

Époux : HERMITTE Pierre Antoine (42 ans)
Épouse : THEUS Marie Claire (24 ans)
Date de l'acte : 20/01/1840
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : + Jean Antoine
Mère : + CHABOT Marguerite
Parents Épouse :
Père : Joseph
Mère : PAYAN Marie Marguerite

Époux : TOUCHE Pierre François (27 ans)
Épouse : THEUS Suzanne Césarine (23 ans)
Date de l'acte : 13/01/1845
Lieu ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : Jean Pierre
Mère : ALLEGRE Anne Rosalie
Parents Épouse :
Père : + jean Antoine
Mère : YVAN Rosalie

Époux : PIEULLE Jean André (35 ans)
Épouse : THEUS Marie Rose (27 ans)
Date de l'acte : 25/11/1846
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : + Louis Séraphin
Mère : GILLE Marie Thérèse
Parents Épouse :
Père : Joseph
Mère : PAYAN Marie Marguerite

Époux : DERBEZ Pierre Antoine (24 ans)
Épouse : THEUS Julie Henriette (24 ans)
Date de l'acte : 14/02/1849
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : + Jean Antoine
Mère : MICHEL Marie
Parents Épouse :
Père : + Joseph
Mère : + PAYAN Marguerite

Mariages d’épouses TOUCHE

Époux : PEPIN Jean Baptiste
Épouse : TOUCHE Jeanne
Date de l'acte : 10/10/1671
Lieu : BARCELONNETTE

Époux : ARNAUD Pierre Jacques
Épouse : TOUCHE Jeanne Marie
Date de l'acte : 11/08/1739
Lieu : BARCELONNETTE
Parents Époux :
Père : + Louis
Mère : JAUFFRED Jeanne
Parents Épouse :
Père : Louis

Époux : MARTIN Pierre Jacques (36 ans)
Épouse : TOUCHE Marie Magdeleine
Date de l'acte : 30/12/1810
Lieu : BARCELONNETTE
Parents Époux :
Père : + Jean Baptiste
Mère : + LEAUTIER Élisabeth

Mariages d’épouses LAUTARET

Époux : CHARPENEL Pierre
Épouse : LAUTARET Marie Élisabeth
Date de l'acte : 18/05/1797
Lieu : CHATELARD
Parents Époux :
Père : Sébastien
Mère : + PINONCELY Jeanne

Époux : BRUN Jean Honoré ° 11/02/1779
Épouse : LAUTARET Marie Catherine ° 30/11/1783
Date de l'acte : 24/05/1803
Lieu : JAUSIERS
Parents Époux :
Père : + Joseph
Mère : JAUBERT Marie Magdeleine
Parents Épouse :
Père : Jean Joseph
Mère : CAIRE Marie Magdeleine

Époux : HERMITTE Jean Antoine
Épouse : LAUTARET Marianne
Date de l'acte : 20/02/1811
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : + Jean Louis
Mère : CHABOT Geneviève
Parents Épouse :
Père : Jean Joseph
Mère : SAVORNIN Marguerite

Époux : GENOVAIR Barthélémy (30 ans)
Épouse : LAUTARET Suzanne (21 ans)
Date de l'acte : 25/08/1819
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux : + Jean Baptiste
Mère : + BESSON Marguerite
Parents Épouse :
Père : Jean Joseph
Mère : SAVORNIN Marguerite

Époux : PROAL Jean François ° 11/02/1791
Épouse : LAUTARET Marie Magdeleine ° 22/11/1796
Date de l'acte : 30/10/1821
Lieu : JAUSIERS
Parents Époux :
Père : Jean François
Mère : + AUDIFFRED Catherine + 19/06/1810
Parents Épouse :
Père : Jean Joseph
Mère : CAIRE Magdeleine

Époux : RAYNAUD Jean Antoine
Épouse : LAUTARET Marie Rose
Date de l'acte : 08/07/1823
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : André Louis
Mère : BARLES Marie Magdeleine
Parents Épouse :
Père : Jean Joseph
Mère : SAVOURNIN Marie Marguerite

Époux : MARTIN Barthélémy ° 07/01/1794, Rentier
Épouse : LAUTARET Magdeleine ° 25/12/1812
Date de l'acte : 06/11/1834
Lieu : JAUSIERS
Parents Époux :
Père : + Reymond
Mère : + MANUEL Rose
Parents Épouse :
Père + Joseph Antoine
Mère : MANUEL Marguerite

Époux : DOU Hyacinthe ° 05/06/1804
Épouse : LAUTARET Marie Émilie ° 16/06/1825
Date de l'acte : 10/01/1849
Lieu : JAUSIERS
Parents Époux :
Père : + Jean Dominique
Mère : + LEAUTIER Marie Marguerite
Parents Épouse :
Père : Jean Pierre
Mère : MANUEL Marie Élisabeth

Époux : AUDIFFRED Jean Baptiste ° 22/10/1825
Épouse : LAUTARET Marie Eugénie ° 21/03/1829
Date de l'acte : 15/05/1850
Lieu : JAUSIERS
Parents Époux :
Père : Jean
Mère : + SIGNORET Marie Élisabeth + 14/10/1844 à Saint-Paul
Parents Épouse :
Père : Jean Pierre
Mère : MANUEL Marie Élisabeth

Époux : DUPONT Étienne François Étienne, ° 27/03/1808 MONTDAUPHIN (05), Capitaine au 7ème R.I
Épouse : LAUTARET Anne Hortense, ° 25/09/1835 BARCELONNETTE (04)
Date de l'acte : 04/02/1851 04/02/1851
Lieu : BARCELONNETTE
Parents Époux :
Père : + Claude Joseph
Mère : + ARNAUD Marie Louise
Parents Épouse :
Père : Jean Joseph
Mère : + ARNAUD Françoise Charlotte

Époux : CAIRE Joachim Alphonse, ° 16/06/1818 JAUSIERS, Propriétaire Rentier
Épouse : LAUTARET Gabrielle Françoise Élodie, ° 16/10/1832 BARCELONNETTE
Date de l'acte : 04/02/1851
Lieu : BARCELONNETTE
Parents Époux :
Père : + Marc Antoine
Mère : + DERBEZ Élisabeth
Parents Épouse :
Père : Jean Joseph
Mère : + ARNAUD Françoise Charlotte

Époux : GARCIN Jacques Benoni, ° 20/09/1823 SAINT-PAUL
Épouse : LAUTARET Marie Angélique, 11/03/1831
Date de l'acte : 19/03/1853
Lieu : JAUSIERS
Parents Époux :
Père : + Joseph
Mère : REYNAUD Suzanne Rosalie
Parents Épouse :
Père : Jean Pierre
Mère : MANUEL Marie Élisabeth

Époux : LAPHOND Louis (28 ans)
Épouse : LAUTARET Rosalie (24 ans)
Date de l'acte : 31/01/1855
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : Marcellin
Mère : ROLLAND Suzanne
Parents Épouse :
Père : Joseph
Mère : CAIRE Anne Marie

Époux : CHAUVET Jean Louis (35 ans)
Épouse : LAUTARET Henriette (25 ans)
Date de l'acte : 25/01/1860
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Époux :
Père : Jean Louis
Mère : + AYME Marianne
Parents Épouse :
Père : Joseph
Mère : CAIRE Anne Marie

Époux : MARCEL Antoine (30 ans), Propriétaire
Épouse : LAUTARET Rose Elisa (26 ans)
Date de l'acte : 26/02/1862
Lieu : ST-VINCENT LES FORTS
Parents Épouse :
Père : Jean Honoré
Mère : + LAURENS Marianne

Époux : AUDIFFRED François, ° 26/12/1833 Saint-Flavy
Épouse : LAUTARET Marie Adèle, ° 26/09/1837 JAUSIERS
Date de l'acte : 16/12/1863
Lieu : JAUSIERS
Parents Époux :
Père : Jean Joseph
Mère : ROBERT Jeanne
Parents Épouse :
Père : Jean Pierre
Mère : + MANUEL Élisabeth

Époux : AUDIFFRED Jean Joseph, ° 03/11/1842 Saint-Flavy
Épouse : LAUTARET Marie Alexandrine, ° 07/03/1839 Jausiers
Date de l'acte : 17/07/1872
Lieu : JAUSIERS
Parents Époux :
Père : + Jean Joseph
Mère : + ROBERT Marie Jeanne
Parents Épouse :
Père : Jean Pierre
Mère : + MANUEL Marie Élisabeth

07 juin 2007

Nouveautés Gallica mai 2007

Parmi les 11.112 nouveaux ouvrages publiés sur Gallica en mai 2007, j'ai retenu les livres suivants :

05 juin 2007

Personnalisation de iGoogle

Depuis quelques jours, il est possible de sélectionner un thème (classique, plage, arrêt de bus, ville, etc.) pour personnaliser iGoogle. J'ai choisi le thème arrêt de bus que je trouve vraiment sympa.



Cette page iGoogle me permet, entre autres, de consulter sur une seule page tous les fils RSS des blogs qui m'intéressent. Cliquez sur l'image ci-dessus pour la voir en grand.

Nobiliaire de Franche-Comté : O

OCCORS. Les seigneurs d'Occors, connus dès 1321, se sont éteints au XVIIe siècle, dans la maison de Saulx-Tavannes, après avoir produit des conseillers, un abbé des Trois-Rois et deux chevaliers de Saint-George, 1474 et 1544. Alliances : Mouchet, Vy, la Baume-Montrevel, etc. Armes : de gueules, au chef d'or danché de trois pièces.

ODOT. Famille de Gray, dont était Odot Pierre, conseiller au parlement de Dole vers 1589. Armes : d'azur, à trois croissants versés d'or.

OGLIANI. Famille qui possédait au comté de Bourgogne des terres nobles, et le fief de Bouclans au XVIIe siècle.

OISELET. Famille qui existe encore en Franche-Comté, et qui est connue sous le nom d'Oiselet de Chevroz.

ORAIN. Armes : de gueules, à une bande d'or, accompagnée de trois sautoirs du même.

Blason ORBEORBE. Noblesse éteinte, originaire du pays de Vaud, et alliée aux Montfaucon.
Armes : d'or, à la croix de sable, chargée de cinq coquilles d'or.

Blason OrchampsORCHAMPS. Il y a deux localités et deux familles de ce nom. L'une a produit Pierre d'Orchamps, bailli du comté de Bourgogne en 1325, et Jean d'Orchamps, chevalier de Saint-George en 1500.
Armes : de gueules, à un chevron, accompagné de trois étoiles d'or.

Blason OrchampsDe l'autre famille, établie à Besançon, étaient Estienne d'Orchamps, cogouverneur en 1423, et Antoine d'Orchamps, en 1520 ; Claude et Léonard furent anoblis, ou plutôt confirmés dans leur noblesse en 1543.
Armes : de gueules, à une bande engreslée d'or.

La seigneurie d'Orchamps passa aux Chifflet. On trouve encore les armes d'une maison d'Orchamp ou Orchamps, qui sont : de sable, à une croix endentée d'argent.

Blason ORGELETORGELET. Armes parlantes : d'azur, à trois épis d'or.

ORILLARD. Famille originaire de Gray, et anoblie le 24 mars 1600 par l'archiduc Albert. Elle possédait les fiefs d'Aboncourt, de Vadans, de Gesier et de Gésincourt.
Armes : d'argent, à une aigle de sable; essorante d'un massacre de cerf du même.

Blason ORIVALORIVAL. Cette famille a donné plusieurs conseillers aux parlements de Dole et de Besançon, des officiers distingués et des ecclésiastiques de mérite. Son représentant actuel est conseiller à la cour impériale de Besançon. Alliances : Valimbert, Choz, Labbey, Renard, Receveur, Boudret, Baulart de Rigny, Favière, Oyselet de Chevroz, Jaquot d'Andelarre, Berbis, etc.
Armes : de gueules, à trois fasces d'or.

Blason OrnansORNANS. Originaire de la localité de ce nom, où elle possédait un fief, la maison d'Ornans, éteinte, remontait à Lancelot d'Ornans, vivant en 1351, père d'Hugues d'Ornans. Alliances : Orsans, Longevelle, Champagne, Noseroy.
Armes : d'argent, à la bande de sable, chargée de trois coquilles d'or.

Blason OrsansORSANS. Lambert d'Orsans, chevalier, vivait en l'an 1088. Renaud était maréchal de l'archevêché de Besançon, ainsi que son fils, en 1435 et 1440. Jacques d'Orsans fut chambellan et maître de l'artillerie des deux Bourgognes. Sa postérité s'éteignit au XVIe siècle, après avoir été reçue quinze fois à Saint George. Armes : d'argent, au sautoir de gueules.

OTTENIN. Gillet Ottenin, écuyer, était en 1393 châtelain de Lons-le-Saulnier. Jacques Ottenin épousa Béatrix Damedor. Armes : de gueules, à la croix d'argent, couronnée de deux croissants et de deux étoiles d'or.

OUDEAU. Emmanuel Oudeau, écuyer, chevalier de Saint- Louis, fut convoqué au banc de la noblesse en 1789.

Blason OyseletOYSELET ou OISELAY. Estienne, fils légitime d'Estienne de Bourgogne, comte d'Auxonne, et de Blandine de Cicon, vivant au XIIIe siècle, est la tige de cette maison, qui s'éteignit an siècle dernier, après avoir formé plusieurs branches. A celle de la Villeneuve appartenait Thomas François d'Oyselet, baron de la Villeneuve, comte et prince de Cantecroix, qui releva le nom et les armes des Perrenot de Granvelle, et qui eut de Caroline d'Autriche, fille légitimée de l'empereur Rodolphe, un fils dont les biens passèrent, par succession, aux la Baume Saint-Amour. Armes : de gueules, à la bande vivrée d'or.

OZANNE ou OSANNE. Jean Ozanne, de Dole, reçut des archiducs Albert et Isabelle des lettres de noblesse le 18 juillet 1606. Armes : d'azur, à trois colonnes d'argent.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

04 juin 2007

Nobiliaire de Franche-Comté : NO

Blason NoidansNOIDANS. Ancienne noblesse éteinte dont étaient Renaud, sire de Noidans et de Mailly, et Pierre de Noidans, chevaliers de Saint-George en 1440 et en 1513. Alliances : Saint-Mauris en Montagne, Vesoul, Vellefaux. Armes : d'azur, à trois bandes d'or.

NOIROT. Famille dont était noble Odot Noirot, receveur général au comté au XVIe siècle. Alliances : Poyer, Hugon.

Blason NOMARTINNOMARTIN. Armes : d'or, à quatre bandes de gueules.

NORMAND. La noblesse de cette famille est incertaine. Elle s'est néanmoins bien alliée et vivait noblement. Alliances : Baulart de Rigny, Fyard de Gevigney, Logre de Francour, Melcot de Fédry, Prevost, Bressand, le Clerc d'Aroz, etc. Philippe Normand, auditeur en la chambre des comptes, originaire de Poligny, vivait au XVe siècle.

NOSEROY. C'est un fief du ressort de Salins, d'où une famille connue dans Jean de Noseroy, chevalier, vivant en 1370 et Lambelin de Noseroy, cogouverneur de Besançon en 1300. Alliances : de Marenches, de Vers, de Chauvirey, de Noyers. Armes : de gueules, à trois pigeons d'argent.

NOSOY. Famille éteinte, qui avait pour Armes : d'argent, au chevron de gueules, chargé de trois quintefeuilles d'or.

NOVEAU ou NOUVEAUX. Charles-Quint confirma, le 10 octobre 1549, la noblesse de cette famille, originaire de Montcalier, près Turin, et fixée en Franche-Comté. Armes : Coupé d'argent et de sable, à un lion de l'an en l'autre, armé et lampassé de gueules.

NOYERS. Miles de Noyers était en 1309 gardien du comté de Bourgogne. Sa famille est éteinte. Alliances : Noseroy, Seroz, Vigoureux, Chauvirey, Villersexel. Armes : d'azur, à l'aigle éployée d'or.

NOZ ou NOX. Famille éteinte, connue à Besançon dès 1259. Evrard de Noz était cogouverneur en 1315, et Vuillemin de Noz, en 1314. Armes : un sautoir de... chargé de cinq quintefeuilles de...

NULLY. Armes : d'or, au porc-épic de sable, ayant sur le dos une croix fichée de gueules.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

Nobiliaire de Franche-Comté : NI

NICOD. Charles-Quint anoblit en 1534 Claude Nicod, cogouverneur de Besançon, maître des requêtes de l'empereur. Il n'eut qu'une fille de Guillemette Perrenot, parente du chancelier de Granvelle. Armes : d'azur, à trois besants d'or, au chef du royaume des Romains.

NICOLAS. Augustin Nicolas, de Besançon, poète et maître des requêtes à Dole, mourut sans postérité. Armes : d'azur, à une flamme d'or, accompagnée en chef de deux étoiles, et en pointe d'un croissant d'or.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

Nobiliaire de Franche-Comté : NE

NELATON. Cette famille était représentée à la fin du siècle dernier par un vicomte mayeur de Dôle, par un conseiller maître à la chambre des comptes, et par un garde du corps. Le célèbre docteur Nélaton parait être de cette famille.

Blason NEUBLANCNEUBLANC. Le village de ce nom ; du bailliage de Dôle, avait ses seigneurs, connus dès 1080, dans Gauthier de Neublanc ou Neublans. La maison de Rye passe pour en être issue. Elle recueillit leurs biens en 1265. Armes : de sable, à la croix ancrée d'argent.

NEUFCHATEL. (Voyez plus haut, page 166.)
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

Nobiliaire de Franche-Comté : NA

NAIZEY. Pierre Naizey était cogouverneur de Besançon en 1537. Alliances : Poupet, de Sagey. Armes : d'azur, à trois têtes d'âne d'argent.

Blason NanceNANCE. Jean de Nance, chevalier de Saint-George en 1549, appartenait à une ancienne maison aujourd'hui éteinte. Alliances : Cléron, Sivriat, Chastenoy, Scey, Visemal, Poligny, Jouffroy. Armes : d'argent, au chef de gueules, à une bande d'azur brochant sur le tout.

NANT. Ancienne noblesse éteinte qui remontait à Jean de Nant, chevalier, enterré à Bellevaux en 1340. Jean de Nant, un de ses descendants, devint archevêque de Vienne, puis de Paris. Il mourut en 1427. Jean et Antoine de Nant étaient abbés de Bellevaux en 1349 et 1429. Alliances : Beaumont, Salins, Joux, Leclerc. Armes : de gueules, à la bande d'or accompagnée de deux cotices d'or.

NANTUARD. Jean de Nantuard vivait au comté de Bourgogne en 1443. Ses descendants ont donné des lieutenants généraux au bailliage de Poligny.

NARDIN. Originaire de Hollande, cette famille fut anoblie au mois d'avril 1526, et vint se fixer à Fraisans d'où elle lassa ensuite à Besançon. Alliances : Mareschal, Sarragoz, Amandre, Scey. Armes : d'or, à un croissant d'azur, au chef du même, chargé de trois étoiles d'or.

NARTEL. Famille établie à Dole et anoblie en la personne d'Antoine Nartel de Vesoul, le 12 novembre 1532, par Charles Quint. Armes : d'azur, à la bande d'argent, chargée de trois molettes de gueules et accompagnée de six billettes d'or, couchées et mises en orle.

NAYARET. Dès 1276 on voit cette famille figurer parmi les cogouverneurs de Besançon. Elle passait pour être issue de la maison de Ruffey. Armes : Un écu semé d'étoiles de..., et à la bande chargée de quatre quintefeuilles brochant sur le tout.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

Nobiliaire de Franche-Comté : MU

Blason MUGNANSMUGNANS. Cette ancienne maison, éteinte, a été admise quatre fois à Saint-George de 1506 à 1590. Armes : d'or, à trois bandes de gueules.

MUNIER. Famille d'orgelet, anoblie par l'empereur Charles-Quint. Armes : d'azur, à quatre ailes de moulin d'or, posées en sautoir.

MUYARD. Guillaume Joseph Muyard, conseiller maître à la chambre des comptes de Dole, acquit en 1710 le fief de Martigna, et Nicolas Muyard, conseiller du roi, lieutenant particulier au bailliage d'Orgelet, acheta en 1716 la seigneurie de Vouglans. Pierre-François Muyard de Vouglans, mort avant 1791, avait été conseiller au grand conseil. Armes : d'or, à la hure de sanglier de sable, accompagnée de trois flammes de gueules.
Source : Annuaire de la noblesse de France 1867
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k36595x/f375.item

03 juin 2007

La famille de Gassier

Source : Chaix d'Est-Ange, Gustave (1863-1923), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112013f/f216.item

Blason de GassierDessin de Sébastien Avy publié avec l'aimable autorisation de HeraldiqueGenWeb.

Gassier (de). Armes: d'azur à un chevron d'or accompagné en chef de trois étoiles de même, 1 et 2, ou en pointe d'un pigeon (anciennement une pie, en provençal agasso) d'argent.

L'écu timbré d'un casque orné de ses lambrequins, d'or, d'azur et d'argent.
La famille de Gassier appartient à la noblesse de Provence. Elle a eu pour berceau la vallée de Barcelonnette, d'où elle vint vers le milieu du XVIIe siècle s'établir dans les environs de Brignoles, au village de Flassans.

Borel d'Hauterive en a donné une généalogie dans l'Annuaire de la noblesse de 1879. On trouvera dans le Nouveau d'Hozier le texte des lettres de noblesse de 1777.

Il en fait remonter la filiation à Honoré Gassier, marié à Claire Icard, dont le fils, Pierre Honoré Gassier, avocat à la sénéchaussée de Brignoles, épousa Elisabeth Vassal vers 1725. Pierre Honoré eut de ce mariage, entre autres enfants, deux fils : 1° Jacques, qui continua la lignée ; 2° François, prieur de Flassans, vicaire général de Mgr de Bausset, évêque de Fréjus. Jacques Gassier, né à Brignoles en 1730, avocat réputé au Parlement de Provence, secrétaire des commandements du prince de Condé pour ses terres de Provence, syndic de la noblesse de Provence, épousa à Barjols en 1780 Jeanne Catherine de Brouilhony de Verdaches et mourut à Aulps en 1811. Il avait obtenu en août 1777 des lettres de noblesse conçues en termes très flatteurs, dans lesquelles étaient rappelés les services militaires rendus par plusieurs parents de son nom. Son fils, François de Gassier, né à Aix en 1786, lieutenant de louveterie dans le Var, décédé à Aulps en 1860, épousa à Réans en 1807 Marie-Madeleine Brun de Barlemont. Il fut père de Jules de Gassier, né à Aulps en 1816, conseiller général du Var, marié à Aulps en 1839 à Mlle de Sigaud de Bresc, et grand-père d'Ernest de Gassier, né à Aulps en 1841, conseiller général du Var, marié en 1867 à Caroline de la Cropte de Chantérac, qui a eu lui-même postérité.

La famille de Gassier a fourni deux chevaliers de Saint-Louis.

Principales alliances : de Brouilhony, Brun de Barlemont, de Sigaud de Bresc, de Félix du Muy 1864, de Fabry-Fabrégues 1871, de la Cropte de Chantérac 1867, etc.

02 juin 2007

La famille de Gassaud

Source : Chaix d'Est-Ange, Gustave (1863-1923), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112013f/f213.item

Blason de GassaudDessin de Sébastien Avy publié avec l'aimable autorisation de HeraldiqueGenWeb.

Gassaud (de). Armes ; d'azur à une tour d'or maçonnée de sable.

La famille de Gassaud, aujourd'hui éteinte, appartenait à la noblesse de Provence. Elle a eu pour berceau la ville de Forcalquier où elle était honorablement connue dès le XVIIe siècle.

Artefeuil en a donné, dans son Histoire héroïque de la noblesse de Provence, une généalogie qui a été reproduite par la Chesnaye des Bois. Le baron du Roure a donne les derniers degrés de la filiation dans les notes de l'Histoire véridique de la noblesse de Provence.

Jean-Antoine Gassaud, célèbre avocat au Parlement de Grenoble, fut anobli par lettres patentes de 1662, qu'il fit enregistrer le 23 octobre de cette même année, et le 13 janvier 1663. Un édit de 1664 ayant révoqué tous les anoblissements concédés depuis 1611, Jean-Antoine Gassaud se fit confirmer dans sa noblesse par nouvelles lettres patentes de décembre 1667. Son fils, Louis de Gassaud, écuyer, marié à Françoise de Perrachon, fut déchargé de la taxe des francs-fiefs, le 20 juin 1693, par jugement du premier président Cardin le Bret. Ce fut lui qui acquit la seigneurie de Beaurepaire. Ses deux fils, Marc de Gassaud, marié le 30 juillet 1695 à Françoise de Joannis, et Antoine de Gassaud, tous deux seigneurs de Beaurepaire, furent maintenus dans leur noblesse le 6 août 1710 par jugement rendu à Aix de Cardin le Bret. La famille de Gassaud était représentée sous Louis XVI par Jacques-Paul de Gassaud, ancien officier, demeurant à Manosque, marié en 1750 à Clotilde de Laugier. Le fils de ceux-ci, Laurent de Gassaud, épousa en 1796 Rose Gabrielle Raymond. Il en eut deux filles dont l'une, décédée en 1870, épousa Frédéric du Puy-Montbrun et dont l'autre, décédée en 1873, épousa M. de Ribbe. Il eut aussi un fils, Jules. Celui-ci fut le dernier représentant mâle de sa famille. Il épousa en 1823 Zénaïde Durand. Il en eut deux filles : 1° la comtesse Charles de Saporta, décédée en 1891 ; 2° Claire, mariée successivement à Alfred Cabanis de Courtois et au baron de Lassus.

Jacques-Paul de Gassaud, de Manosque, chevalier, Sgr de Beaulieu ; son frère, André de Gassaud et son fils, Laurent Marie de Gassaud, prirent part en 1789 aux assemblées de la noblesse tenues à Forcalquier.

La famille de Gassaud n'était pas titrée.

Elle avait fourni des officiers.

Principales alliances: de Joannis, de Gaudemard, de Laugier, de Mene, de Lassus 1877, de Saporta, Durand, du Puy-Montbrun, de Ribbe, etc.

Liens externes

Nouveaux faits divers sur Geneprovence

Comme à chaque début mois, je retransmet les annonces des nouveaux articles publiés sur le blog Geneprovence. Le mois dernier, je n'avais pas pu le faire pour cause de panne d'internet...

Voici donc les nouveaux faits divers pour la mise à jour de juin du site de Jean-Marie Desbois. GénéProvence a été élu meilleur site perso en mai 2007 par FranceGenWeb.

L'adresse : http://www.geneprovence.blogspot.com/

geneprovence

Faits divers :
  • Mort dans une cabane (Aureille, 1896).
  • Morts en allant à un enterrement (Martigues, 1869).
  • Des chevaux blessent trois personnes (Aix-en-Provence, 1861).
  • Une langue coupée (Aix-en-Provence, 5 juin 1845).
  • Un bébé abandonné de nuit (Peynier, 1811).
  • La découverte du corps de Pierre Orèpe (Maussane-les-Alpilles, 1793).
Et aussi :
  • Robert de Mauvoisin (c. 1285-ap. 1320). « Robert de Mauvoisin était archevêque d'Aix-en-Provence de 1313 à 1318. En 1308, il est forcé de résigner ses fonctions à la cathédrale Saint-Sauveur à la suite d'un procès qui lui est intenté sur ordre du pape Jean XXII... ».
  • L'église du Casset et ses pénitents. Le Casset est un hameau de la commune du Monêtier-les-Bains. Il se situe, à une altitude de 1600 mètres environ, entre le Monêtier et le col du Lautaret. Le lieu est enchanteur et est la destination de nombreux randonneurs. Mais les amateurs d'histoire y trouveront aussi leur compte dès lors qu'ils poussent les portes de l'église Saint-Claude.

01 juin 2007

La famille de Gaudemar

Source : Chaix d'Est-Ange, Gustave (1863-1923), Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112013f/f237.item

Blason de GaudemarDessin de Sébastien Avy publié avec l'aimable autorisation de HeraldiqueGenWeb.

Gaudemar (de), en Provence. Armes : parti : au 1 coupé d'or et d'azur, l'or chargé d'une aigle éployée de sable ; au 2 d'azur à trois coqs d'or, posés 2 et 1. -- Couronne de Marquis. – Supports : deux sirènes.


La famille de Gaudemar est anciennement et honorablement connue dans la Haute Provence. Un de ses membres était notaire à Digne dès 1532.

Les généalogistes contemporains ont cherché à lui attribuer une origine très reculée. D'après leurs travaux, qui ne s'appuient sur aucune preuve, elle serait venue du Hainaut s'établir en Provence dans les dernières années du XVIe siècle et descendrait d'un Jean de Godemar, ou de Gaudemar, conseiller du prince Charles dans le Hainaut, qui fut anobli en 1518 par lettres de l'empereur Maximilien enregistrées en la Chambre des comptes de Lille.

Dans la réalité la famille de Gaudemar n'est mentionnée dans aucun des anciens nobiliaires de Provence. Elle ne figure au nombre ni de celles qui furent maintenues nobles par jugement lors des diverses recherches ordonnées par Louis XIV, ni de celles qui prirent part en 1789 aux assemblés de la noblesse. On trouve, au contraire, qu'André Gaudemard, de Manosque, Marc Antoine Gaudemar, de Riez, et Pierre Gaudemar, de Digne, payèrent volontairement en 1668 une amende de 50 livres pour avoir usurpé les titre et qualité de noble. Balthazar Gaudemar, de Digne, fut encore condamné par défaut à l'amende comme usurpateur de noblesse par jugement du premier président Cardin le Bret rendu à Aix le 30 juin 1697.

Basile, Pierre et Claude Gaudemar furent successivement procureurs du Roi au siège général civil et criminel de l'ex-amirauté des mers du Levant à Marseille.

Balthazar Nicolas Étienne Gaudemard, Sieur de Mauvans, né à Riez le 15 novembre 1756, fils de Jacques Gaudemard, avocat, et de Claire-Pierre de Fournier, marié à Thérèse de Fabre de Mazan, fut pourvu par lettres du 16 janvier 1788 de l'office de conseiller maître en la Cour des comptes, aides et finances de Provence.

La famille de Gaudemard a encore fourni des officiers distingués, dont deux chevaliers de Saint-Louis, des magistrats, des avocats, etc.

Elle n'est pas titrée.

Principales alliances : de Fabre de Mazan, de Boutiny, d'Agnel Bourbon d'Acigné, de Crousnilhon, etc.

Pour plus d'informations sur cette famille, voir l'article de Jean-Pierre Logeais sur son blog Varia - Histoire et Généalogie : Famille de GAUDEMAR à Jausiers puis à Riez