Armes : de gueules à une épée garnie d'argent dans son fourreau de sable, posée en pal, la pointe en bas et tortillée de son baudrier du troisième.
Source : Les maintenues de noblesse en Provence par Belleguise. Page 347.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54106328
Entre le P. G., etc., et noble Jean de Baudon, écuyer de la ville de Riez, etc.
Sept instruments et pièces en latin et en parchemin, dans lesquelles Pierre de Baudon, de la ville de Riez, est qualifié noble, en datte des 16 mai 1450, et 1460, 1464 et 1485, signé au bas par les notaires et paraffés.
Vingt autres vieux instruments, savoir dix sept en parchemin, et trois en papier, signés et paraffés par les notaires, des années 1484, jusques en l'année 1517, dans lesquels Jacques de Baudon est qualifié noble et, dans aucuns d'iceux, il est aussi qualifié généreux et, en quelques autres, il est qualifié chevalier et sr en partie, de St Jullien d'Asse et fils dudit Pierre et de demoiselle Monette de Bras, et partie des autres sont des investitures et reconnaissances.
Trente cinq pièces savoir, en parchemin trois et trente deux en papier, signées et parafées par les notaires, des années 1532 jusques en l'année 1571 (?), par lesquelles il est justifié que André de Baudon a été qualifié noble, en quelques uns, il est qualifié coseigneur de Riez et, en quelques autres, il est dit être fils de noble Jacques et de demoiselle Marie de Tende et, après son décès, demoiselle Marthe de Gombert de Dromon a été qualifiée veuve de noble André de Baudon, coseigneur de Riez.
Six pièces des années 1566, 1581, 1583 et 1586, dans lesquelles Joseph de Baudon est qualifié coseigneur de St Jullien, fils de noble André et de demoiselle Marthe de Gombert de Dromon.
Sept pièces des années 1621, 1622, 1623, 1624 et 1626 par lesquelles il est justifié que Melchion de Baudon a toujours été qualifié noble et écuyer.
Copie d'Arrêt de la cour de parlement de ce pays, du dernier 1651, par lequel le fidéicommis apposé au testament de mre Antoine de Baudon, son grand oncle, du 24 juin 1560 a été ouvert en la personne de noble Jean de Baudon, dans lequel il est qualifié écuyer, du 2 décembre 1479 (?), dans lequel ledit Jacques est qualifié fils de noble Pierre et ladite de Tende est qualifiée fille de noble Antoine de Lascaris.
Autre instrument du 27 avril 1503, signé, Arnaudy, notaire, dans lequel ledit Jacques est qualifié chevalier et cosgr de St Jullien.
Transaction passée entre ledit noble Jacques de Baudon, coseigneur de St Jullien, et noble Antoine de Berre, par laquelle ils ont partagé entre eux la haute, moyenne et basse juridiction, droits seigneuriaux, directes et domaine, qu'ils possédaient conjointement ladite terre de St Jullien, du 10 juillet 1506, signé avec le parafe, par le notaire.
Acte d'arrentement passé par noble André Baudon, écuyer, coseigneur de Riez et seigneur, in parte, de St Jullien d'Asse, du domaine, droits seigneuriaux, fruits et revenus de la haute, moyenne et basse justice, au profit de Jeannet Béraud, dudit lieu de St Jullien, moyennant 450 # pour chacune année, signée : Arnaudy, notaire, du 3 novembre 1554.
Inventaire de communication de quelques pièces de noble Joseph Baudon, coseigneur de St Jullien, héritier médiat de demoiselle Mouette de Bras, entre noble Antoine de Berre et noble François Fabry, du 19 février 1583
Mariage d'entre Jean Gombert, seigneur de Dromon, et demoiselle Anne Brotin, fille du seigneur de Paris, du 17 octobre 1492, au commencement duquel il est fait mention que demoiselle Delfine Baudon, fille d'André, écuyer de Riez, et de demoiselle Marthe de Dromon, avait fait extraire ledit mariage,
Testament de noble André de Baudon, par lequel il a institué noble Joseph de Baudon, son fils, du 17 novembre 1554.
Mariage d'entre noble Christofle de Gillibert, fils de noble Guillaume Gillibert, conseiller du Roi au parlement de Grenoble, et demoiselle Honorade de Baudon, fille d'André, du 27 septembre 1592.
Mariage d'entre me Glande de Cormis, avocat en la Cour, et demoiselle Marguerite Baudon, fille de noble André Baudon, du 4 avril 1558.
Contrat de mariage d'entre Joseph de Baudon et demoiselle Suzanne de Glandevès, dans lequel ledit Joseph est qualifié noble, écuyer de Riez, et ladite de Glandevès, fille d'Hélion de Glandevès, seigneur de Puimichel, et de demoiselle Magdaleine de Barras, du 13 avril 1583, signé Bérard, notaire, et au Certificat de l'insinuation : de Roux.
Mariage d'entre Melchion de Baudon et demoiselle Marguerite de Bec, dans lequel ledit de Baudon est qualifié fils à feu Joseph, écuyer, de Riez, et de demoiselle Suzanne de Glandevès, du 3 mai 1622.
Extrait du baptistère dudit Jean de Baudon, qualifié fils de noble Melchion et de demoiselle Marguerite Bec, du 18 mars 1629.
Mariage dudit Jean de Baudon avec demoiselle Catherine Marie (?), dans lequel ledit Jean est qualifié noble fils dudit Melchion, écuyer, et de ladite demoiselle Marguerite de Bec.
Trois Certificats faits par les religieux du couvent des FF. Mineurs, du juge et des consuls de ladite ville de Riez comme les armes de la maison de Baudon sont insculpées au prebistre du maître autel de l'église desdites FF. Mineurs, en une chapelle dite de St Lazare, avec deux anges pour support, des 15 et 21 octobre 1657, lesquelles armes sont une épée avec son baudrier.
Le livre de l'histoire chronologique de l'évêché et diocèse de Riez, fait par Mre Simon Bartel, dans laquelle, en faisant le dénombrement des maisons de ladite ville de Riez, celle de Baudon y est, entre autres, mentionnée et il est aussi fait mention que l'un de ladite famille était évêque de Glandevès.
Inventaire des papiers fait après le décès de noble Joseph de Baudon, à la poursuite de ladite de Glandevès, sa femme, du 3 juin 1600, dans lequel il est inventorié un grand nombre de papiers de ladite maison de Baudon, dans lesquels lesdits Pierre, Jacques, André et Joseph sont qualifiés toujours nobles et, dans quelques uns, coseigneurs de Riez et de St Jullien.
Quatorze pièces des années 1488 jusques en 1560 qui prouvent que de ladite maison de Baudon il y a eu des sacristains et chanoines en l'église de Riez, prévôt d'Avignon, cabiscol d'Arles.
Contredits dudit me Belleguise à la production dudit de Baudon, avec un abrégé d'arrentement, du 14 juillet 1657, signé Roux, passé entre ledit de Baudon et demoiselle Marie Barbaroux.
Extrait, au long dudit contrat, signé par ledit Roux, par lequel apert que ledit de Baudon avait loué une partie d'une sienne maison à ladite Barbaroux, de la même date, du 14 juillet 1657.
Fait à Aix, le 13 février 1668.
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