Source : Les maintenues de noblesse en Provence par Belleguise. Page 75.
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54106328
Entre le P. G. etc., et Honoré et Pierre de Gouin, frères, de la ville d'Arles.
Jugement rendu par lesdits sieurs commissaires délégués en faveur de Jean de Gouin, par lequel il est déclaré noble et issu de noble race et lignée, du 18 février dernier 1667.Fait à Aix, le 23 juillet 1667.
Lettres patentes de noblesse accordes à André Roux de Gouin en récompense des services que feu Honoré, son père, avait rendus aux feus rois et principalement à la défense de la ville du Baron, assiégée par ceux de la religion prétendue réformée, dont l'adresse est faite au parlement, cour des comptes et autres officiers, du mois de janvier 1615, signées Louis et, sur le reply, par le roi, comte de Provence, signé Phelipeaux, dument scellées du grand sceau en cire verte, avec des lacs de soie rouge et verte, au dos desquelles apert être vérifiées au conseil de la maison commune dudit Arles, le 1er mai 1616, signé d'Augières.
Arrêt de la cour des comptes portant vérification et enregistrement desdites lettres patentes de noblesse, du 9 novembre 1615.
Quittance de 60 livres payées au trésorier du palais pour la finance des susdit lettres patentes par ledit sieur Gouin, du 16 novembre suivant.
Extrait du testament dudit André Roux de Gouin, écuyer, par lequel apert que Jean, Honoré et Pierre de Gouin sont ses fils, auxquels il lègue la somme y énoncée, du 27 mars 1627, signé Veran, notaire.
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