- François DE BEC-DE-LIÈVRE, Ve du nom, seigneur de Gouvello et de Saint-Maur, fils puîné de Pierre, IIIe du nom, seigneur du Boisbasset, et de Jeanne du Masle, reçut partage de Jean son frère aîné, le 6 novembre 1569. Il avait été reçu le 27 octobre précédent conseiller au parlement de Bretagne, lequel avait été érigé en 1554. Il épousa Grégorine de la Corbinière, et mourut le 17 avril 1603. Leurs enfants sont :
- François, qui suit ;
- Françoise-Julienne, morte sans alliance ;
- Et Anne, femme de Pierre de Perchays, qui reçut partage de son frère, le 2 février 1614.
- François DE BEC-DE-LIÈVRE, VIe du nom, seigneur de Saint-Maur, mort le 4 mars 1632, avait épousé, par contrat du 28 avril 1613, Françoise le Marchand, dame de la Geurivays, fille de Pierre, seigneur de la Gitays et de la Geurivays, dont il eut :
- René, seigneur de Saint-Maur, qui épousa, 1.° le 25 septembre 1639, Marthe de Kerveno ; et 2.° le 12 mars 1644, Antoinette le Peunec, fille de René, seigneur de Trégron, et de Jeanne de Guerrier, dont il eut : Julienne-Marie de Bec-de-Lièvre, dame de Saint-Maur, qui épousa, le 2 mai 1662, Jean-Georges de la Motte, seigneur de la Vallée Plumaudan, fils de François, seigneur de la Vallée Plumaudan, et de Françoise de Voyer ; dont deux filles mariées aux seigneurs de la Ferronays et de Kervillio ;
- Guillaume qui suit :
- Claude, auteur de la branche des seigneurs de Brossay, rapportée ci-après ;
- Gilles, seigneur du Houx, mort sans alliance.
- Guillaume DE BEC-DE-LIÈVRE, IIe du nom, seigneur de Penhouët, reçut partage de René, seigneur de Saint-Maur, son frère aîné, le 19 septembre 1642, fut maintenu dans sa noblesse avec ses deux fils Julien-Antoine et Jean, lors de la réformation, par arrêt du 27 juin 1669. Il épousa, le 20 janvier 1645, Julienne du Mur, dame de Pommerel, fille de Julien, seigneur du Mur, et d’Hélène de Gueriss, dont il eut :
- Julien-Antoine, qui suit ;
- Jean , qui est auteur de la branche des seigneurs de Belair, rapportée ci-après,
- Julien-Antoine DE BEC-DE-LIÈVRE, seigneur de Penhouët, mourut en 1703. Il avait épousé, le 23 juin 1670, Madeleine Cosnier, fille de René, seigneur de la Clergerie, et de Jeanne Carts, dont il eut :
- René-Jean-Baptiste, qui suit ;
- Julien-Antoine, seigneur de Saint-Maur, marié à Renée Denisot, dont il a eu Antoinette, de Bec-de-Lièvre, dame de Saint-Maur, mariée le 10 janvier 1729, à Charles-Louis le Fournier, seigneur de Trélo.
- René-Jean-Baptiste DE BEC-DE-LIÈVRE, seigneur de Penhouët, mort le 24 décembre 1736, avait épousé le 4 janvier 1689 : 1.° Jeanne de Gallais, fille de Jean, seigneur de la Villerault et de Jeanne Costard , dont il n’eut point d’enfants ; et 2.° Jeanne-Hélène Le Noir de Carlan, fille de Guillaume, seigneur de Tournemine, et de Jeanne-Françoise Rodo-du-Matz, le 25 février 1725, dont il a eu :
- Jean-Marie, qui suit ;
- Gabriel-François-Louis, dit le chevalier de Bec-de-Lièvre, né le 15 septembre 1734 , lieutenant d’infanterie au régiment d’Enghien , blessé dangereusement à la bataille d’Astembeck en 1757, puis capitaine au régiment des Volontaires de Dauphin en janvier 1760 ;
- Et Flavie-Suzanne, religieuse Ursuline à Redon, morte le 2 juillet 1756.
- Jean-Marie DE BEC-DE-LIÈVRE, seigneur de Penhouët, né le 8 décembre 1727, épousa, par contrat du 24 septembre 1757, Suzanne de la Tullaye, fille de Pierre Alexandre, seigneur de Kernavellon, et de Marguerite Le Clerc, dont il eut :
- Anne-Marie-Alexandre, né le 10 janvier 1760 ;
- Gabriel-Antoine, né le 18 février 1761 ;
- Et Jean-Vincent, né le 27 juin 1762.
BnF/Gallica : http://gallica.bnf.fr/document?O=N036861
2 commentaires:
quelques erreurs de frappe peuvent induire en erreur : des documents que je possède (à Penhouët) il ressort que ce n'est pas "de la Vallée Pimodan" mais de La Vallée en Plumaudan (un manoir/chateau tombé en ruines dans les années 1960).
De même il s'agit d'une famille "Fournier de Trélo" (manoir-chateau en Carentoir) et non pas de Fournier de Tréélo.
Des 3 hommes de la génération de la révolution, l'ainé est mort en duel à Nantes, le second très "aventureux" a laissé un fils
qui semble parti en Belgique.
Le 3°, chanoine, de retour d'émigration est mort à Penhouët en 1819.
Un neveu implanté en Haute-Loire a vendu Penhouët en 1823 à mon aïeul.
Je souhaite ne pas vour avoir paru inopportun.
Georges Lagrée
En cherchant dans Google Maps, j'au effectivement trouvé à proximité de Penhouët, Plumaudan et non Pimodam et Trélo, Plélan-le-Grand et non Tréelo. Je vais donc corriger, merci pour votre remarque.
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